Cœur et anesthésie : interférences avec les médicaments cardiovasculaires - 16/08/16
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La qualité de la gestion des médicaments cardiovasculaires pendant la période opératoire conditionne le risque cardiovasculaire postopératoire. La physiopathologie des complications postopératoires qui menacent l'opéré aux réserves cardiaques ou coronaires limitées rend compte de l'intérêt des thérapeutiques cardiovasculaires qui limitent les effets délétères sur le myocarde des contraintes circulatoires de la période postopératoire. L'administration per- et postopératoire raisonnée des médicaments cardiovasculaires doit tenir compte des effets pharmacologiques de ces médicaments qui assurent la prévention des complications cardiovasculaires postopératoires et des conditions dans lesquelles ils augmentent la vulnérabilité de l'opéré face aux contraintes circulatoires périopératoires. La poursuite ou l'arrêt de ces traitements s'intègre dans une stratégie moderne et adaptée de prévention efficace des complications circulatoires postopératoires qui altèrent l'espérance de vie des opérés. Les interférences entre les contraintes circulatoires et hémorragiques de la période opératoire et les traitements cardiovasculaires de l'opéré (statines, anticoagulants oraux, antiplaquettaires, antihypertenseurs, etc.) ont fait l'objet de recommandations précises qui doivent être prises en compte pour assurer une gestion optimale de l'ensemble de ces thérapeutiques tout au long de la période opératoire.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots-clés : Anesthésie, Médicament cardiovasculaire, Risque coronaire
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